« Desert Escobar » transféré dans une autre prison
Nouveau transfert de Haj Ahmed Ben Ibrahim. Le trafiquant de drogue malien a été transféré de la prison Ain Sebaâ 1 (Oukacha) de Casablanca à la prison locale de Salé 2. Ce transfert intervient quelques jours après que la famille du détenu a affirmé qu'il avait été « victime de deux tentatives d'assassinat ». Des allégations démenties par la Délégation générale à l'administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR). « Le détenu en question n'a jamais été le victime de tentative de meurtre ou d'agression par qui que ce soit, et toutes les allégations à cet égard sont infondées », indique la DGAPR dans un communiqué.
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Le malien Haj Ahmed Ben Ibrahim « n’a jamais déposé de plainte auprès de l’administration de l’établissement concernant une quelconque tentative d’assassinat ou agression présumée, sachant qu’il bénéficie de tous les droits qui lui sont légalement reconnus, « comme les autres détenus de l’établissement », ajoute le même source. La DGAPR assure également « prendre toutes les mesures préventives de sécurité nécessaires pour préserver la sécurité des détenus, dans le cadre de ses missions de sécurité ».
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Incarcéré à la prison d'El Jadida depuis 2019, Haj Ahmed Ben Ibrahim a été récemment transféré à la prison locale d'Ain Sebaâ. Cet homme dont la mère est d'origine marocaine était accompagné de 25 individus dont Said Naciri, président du Wydad de Casablanca, parlementaire du Parti Authenticité et Modernité (PAM), et également président du Conseil Préfectoral de Casablanca, président de la région Orientale. , Abdenbi Bioui, membre du bureau politique du PAM et Belkacem Mir, ancien député du PAM à la première chambre. Accusés de trafic international de stupéfiants, de blanchiment d'argent, de vol de biens immobiliers, de saisie de véhicules volés, de faux et usage de faux, etc., ils ont été placés en détention provisoire.