
une nouvelle taxe sur les locations qui font mal
«Actuellement, les particuliers détenant un revenu de propriété dont le montant brut est égal ou supérieur à 120 000 dirhams sont soumis à l’impôt sur le revenu au taux de l’échelle progressive, dans le cadre de leur déclaration de revenu global à la fin de l’année après l’imputation, si nécessaire du réservoir opéré au cours de l’année concernée par le taux de non-libération de 15%. Afin d’assurer l’équité fiscale et de simplifier ce mode fiscal, notamment pour les employés et les retraités, il est proposé de permettre la possibilité de fiscalité de ces revenus au taux de libération de 20%, avec la possibilité de bénéficier de l’exonération de l’exonération de l’exonération de La déclaration annuelle du revenu global pour ledit revenu », il se trouve dans la note du PLF. Mais cette mesure fiscale qui est entrée en vigueur ce mois de janvier ne sera pas sans conséquences sur l’activité des propriétaires.
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«Cette nouvelle disposition, qui comprend une taxe foncière de 20% et une taxe municipale de 10,5%, aura sans aucun doute un impact sur le moral des investisseurs dans la location. Cela risque de décourager l’investissement dans ce créneau, sachant que les acteurs étaient initialement encouragés à investir », explique Yassine Meniari, directrice générale des agences immobilières Aykana Rabat avec Défi. Les capitaux propres fiscaux sont impliqués. «Nous comprenons l’idée d’ajuster la taxe dans les secteurs de manière équitable, mais nous devons prendre en compte les spécificités de chaque secteur. Et surtout, l’immobilier joue un rôle majeur dans l’économie marocaine », ajoute-t-il.
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Pour le PDG des agences immobilières Aykana Rabat, il est également nécessaire de prendre des mesures pour protéger les investisseurs dans l’immobilier locatif. “Lorsque vous vous retrouvez avec des locataires qui n’ont pas réalisé de 3 à 4 ans et que vous ne pouvez rien faire, l’État doit également prendre des mesures”, insiste-t-il. Mohamed Lahlou, président de l’Union régionale des agences immobilières (URAI) Casablanca-Settat, aborde les implications probables pour le prix du loyer. Il joue la carte d’assurance: «La plupart des donateurs vont déjà sous les radars fiscaux. Je ne pense pas que les loyers changent, car il y a des prix de supervision qui existent ».