
Les Marocains ont empêché de venir travailler en France
“Il y a encore un manque de 120 à 150 travailleurs saisonniers du département …”, a dit La dépêche Denis Carminati, ancien patron de l’Auberge du Moulin à Sainte-Enimie, et président de LozhéRien de l’Union of Hotel Trades and Industries (UMIH). Cette pénurie de main-d’œuvre s’est intensifiée pendant la pandémie de Covid-19. Depuis la crise covide, elle est devenue «un véritable parcours d’obstacles.
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Le problème est très réel. “J’ai besoin d’un chef du CDI et d’un greffier, mais je ne trouve pas, déplore l’amine nfinif, du restaurant Mendois Taj Mahal. Le travail de la France m’envoie des gens sans expérience, ou sans motivation. Dans le processus, il reçoit un profil qui l’intéresse, mais il est difficile pour lui de le recruter.” J’ai reçu sur mon profil d’employeur le CV d’un chef qui vit à Morocco. Il est motivé, il sait bien la cuisine que je fais, mais le bureau de l’immigration française à Casablanca ne lui donne pas de rendez-vous pour faire la visite médicale, dit que cet immigrant a installé pendant quinze ans à Lozère. Il ne peut donc pas demander un visa de travail … Cela fait quatre mois et demi depuis qu’il dure. »»
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Téléphone à la main, Amine montre les notifications qu’il reçoit: «Ce sont des réponses automatique à mes e-mails, où on me donne un numéro à appeler qui ne répond jamais. La préfecture, à Mende, me dit qu’elle ne peut rien faire.” Celui qui a pris le contrôle du Taj Mahal en 2022, et qui a également travaillé au travail de Laiterie du Masse, je suis en train de partir sans équilibre jusqu’à August parce que la pénurie: “Pour le moment, je suis deme Un seul employé … J’occupe deux emplois en même temps pour faire fonctionner mon entreprise, c’est l’enfer.
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Aux yeux de Carminati, cette situation n’est pas isolée. Selon ses explications, elle oblige certains professionnels à limiter leur activité, faute de travailleurs saisonniers. “Les associations de migrants nous aident, mais il y a toujours des blocages. Demander une régularisation est également compliqué. C’est dommage, car ce sont des gens qui veulent travailler. De nombreux employeurs offrent également un logement gratuit. Et je veux le spécifier: ils sont payés comme les Français”, a-t-il ajouté.