
Mauvaise nouvelle pour les Marocains souhaitant s’installer au Nouveau-Brunswick (Canada)
Le gouvernement de la province atlantique du Nouveau-Brunswick a temporairement suspendu le programme d’immigration au Canada atlantique (PICA). Cette suspension est intervenue depuis le 4 avril 2025 et se déroule jusqu’à la fin de 2025. Il suit les dommages à la demande annuelle de demandes allouées pour 2025. “Depuis cette date, aucune nouvelle demande d’approbation ne sera acceptée et aucune nouvelle invitation ne sera envoyée aux employeurs souhaitant devenir des employeurs désignés dans le cadre du programme”, rapporte le site immigrate.comdéclarant que «les demandes complètes soumises au plus tard le 4 avril 2025 continueront cependant à être traitées normalement.» »
Cette suspension sera préjudiciable aux travailleurs étrangers qualifiés, ainsi que pour les diplômés internationaux des établissements postcondaires reconnus situés dans la région de l’Atlantique du Canada. Ils ne pourront plus avoir un accès privilégié à la résidence permanente (RP). Cette mesure empêche les employeurs désignés du Nouveau-Brunswick de fournir des postes difficiles à remplir localement des résidents permanents ou des citoyens canadiens.
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“Seuls les employeurs désignés dans la province peuvent lancer une demande dans le cadre du PICA. Une liste mise à jour d’employeurs désignés est disponible en téléchargement sur le site Web du gouvernement du Nouveau-Brunswick”, est-il spécifié.
D’autres options d’immigration sont disponibles pour ceux qui prévoient de s’établir au Nouveau-Brunswick via le PICA. Ils peuvent explorer le programme de candidats des provinces (PCP) qui permet aux provinces de nommer des candidats à une résidence permanente en fonction de leurs besoins spécifiques; Entrée express, un système de sélection rapide pour les travailleurs qualifiés souhaitant s’installer au Canada; Le permis de travail, notamment par la mobilité française de répartition, pour les travailleurs francophones souhaitant travailler en dehors du Québec, mais également le permis d’étude, y compris le programme pilote pour les étudiants des communautés françaises dans une situation minoritaire, qui soutient les étudiants français qui souhaitent étudier et s’installer au Canada.