
Une fête espagnole demande à l’UE de “punir” le Maroc
La semaine dernière, six méps, les Espagnols Serra Sanchez Isabelle, député pour le Podède du Parti espagnol, et Pro-Polisario actif, ont demandé de prendre le même vol par lequel ils ont tenté d’entrer dans le Sahara marocain. Anacé, le porte-parole du Parti espagnol, Isa Serra, le Mép Mép Martins (Portugal), ainsi que Jussi Saramo (Finlande), ont envoyé une correspondance au président du Conseil européen, António Costa, à la présidente de la Commission européenne européenne, Roberta Metsola, et à la vice-président de la Commission européenne, Kaja Kallas, pour cette expulsion. Ils demandent à l’UE de prendre des mesures contre le Maroc.
Lire: Le Maroc expulse les députés européens
Ces parlementaires pro-éparatistes voulaient se rendre au Maroc pour vérifier le respect de la récente décision de la Cour de justice de l’Union européenne, qui a annulé les accords agricoles et de pêche entre l’UE et le Maroc et a tenté de se forcer à forcer à Laâyoune avant d’être réprimé à Las Palmas. Le seul problème: ils n’avaient aucune autorisation et n’étaient pas mandatés par le Parlement européen, et n’avaient pas non plus les autorisations nécessaires des autorités marocaines.
Lire: le Maroc expulse deux étrangers
Selon l’avocat Mourad Elajuti, le Maroc n’a pas mal agi en priant les députés de députés pour reprendre le vol dans la direction opposée, car “le droit international est explicite: chaque État est le seul maître de l’accès à son territoire”. “Toute tentative d’entrée non autorisée constitue une violation de la souveraineté nationale et une transgression des conventions internationales”, a-t-il expliqué Se débattre. Selon les explications de l’avocat, les autorités marocaines ont appliqué “leurs lois en conformité totale aux normes internationales”. Pour soutenir son argument, Elajouti évoque la loi n ° 02-03 sur l’immigration qui prévoit que l’accès au territoire peut être refusé à toute personne dont la présence constitue une menace pour l’ordre public.